NEWS

07.05.25

Visite de l’exposition Joie Collective, Apprendre à Flamboyer! et rencontre avec l’artiste Bocar Niang.

23.04.25

Table ronde « Que peut l’art ? Politiques du regard, mémoires de la violence ».

14.03.25

Les Laboratoires d’Aubervilliers,
La Mairie d’Aubervilliers,

La Maison des Langues
et des Cultures d’Aubervilliers,
L’école élémentaire Joliot Curie,
Le collège Gabriel Péri d’Aubervilliers,
L’Atelier La Débrouille,
L’Aquarium,
Maisons de la Sagesse-Traduire,
Office abc (avec Charlotte Carletto,
Clara Degay, Clémentine Grisvard),
Centre Pompidou,
Jeu de Paume,
Musée Tinguely,
HKW, Berlin,
Shedalle, Zurich,
Sequenza 9.3,
Cac Teatro,
Association Adrar,
Association Passarina,
La Nuit de la Philosophie

Mercredi 7 mai 2025

 

Le Baby-fOOt, est une oeuvre fondée sur l’échange, l’interaction et une dimension ludique. Au centre de l’installation, l’artiste a imaginé un baby-foot composé de 22 personnages qui représentent pour l’artiste des références essentielles. Bocar rend ainsi hommage à certaines figures-clés du passé et de la contemporaneité, suivant l’dée d’une monumentalité alternative et anti-autoritaire. 

 

Bocar Niang est un artiste multidisciplinaire né en 1987 à Tambacounda, au Sénégal. Issu d’une famille de griots dont il perpétue la tradition orale tout en explorant des formes contemporaines à travers la performance, l’écriture, la musique, la vidéo et les arts plastiques. Diplômé en arts et cultures de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et de l’École nationale supérieure d’art de Paris-Cergy, il poursuit actuellement une thèse au sein du programme RADIAN (ésam). Son travail, fondé sur la collecte et la transmission de récits multilingues, prend la forme d’installations sculpturales, de textes et d’enregistrements sonores. Il a présenté ses œuvres dans des institutions telles que la Villa et Ateliers Médicis, le Centre Pompidou, le Palais de Tokyo et la Fondation Ricard. Depuis 2018, il se consacre à la création du Musée Griot à Tambacounda.

 

Une visite a déjà eut lieu dans le cadre de kif culture, un programme lancé en 2024 par le bhi et ses partenaires associatifs, visant à créer des liens entre les jeunes et des publics intergenerationnels et des lieux, événements et enjeux culturels d’aujourd’hui. Remerciements: Lilit Letourneur, Penda Fall, Association de l’Autre Coté, Asiemut, le Musée du Quai Branly et Le Palais de Tokyo.

 

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Mercredi 23 avril 2025

 

Table ronde avec :

Tristan Ajavon, psychanalyste, docteur en études psychanalytiques et psychopathologie, membre du Collectif de Pantin.

Jean-Claude Flamand-Barny, réalisateur

Cassandre Surinon, doctorante en psychologie, psychologue clinicienne et membre du Collectif de Pantin

 

Organisé par :

Chris Cyrille, critique d’art, curateur et enseignant à l’École supérieure d’art de Clermont Métropole

Sarah Matia Pasqualetti, ATER et doctorante en esthétique à l’École des arts de la Sorbonne

 

18h – 20h

Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Amphithéâtre Descartes
Accès : 17, rue de la Sorbonne 75005

 

Gratuit sur réservation obligatoire :  https://forms.gle/imryHjKNRMZFjAZL9

 

Dans le cadre du centenaire de la naissance de Frantz Fanon.

Co-production : Mangrovity Art Fund, Collectif de Pantin, Le bureau des heures invisibles, et le Edouard Glissant Art Fund.

 

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Vendredi 14 mars et Samedi 15 mars 2025

 

Vendredi 14 mars 18h30 :  «Présence et Production», 
une conférence de Thomas Hirschhorn, dans l’Auditorium de l’Esam Caen/Caen Cherbourg

en partenariat avec la Millenial Academy—Projet art-science du Millénaire de Caen 2025 et  L’Artothèque—Espaces d’art

Samedi 15 mars 
17h : rencontre avec l’artiste
18h : vernissage de l’exposition Laboratoire des Monuments Tombés, du 15 mars au 7 juin 2025

L’Artothèque—Espaces d’art
co-commissariat Sarina Basta pour le bhi et l’Artothèque, Espaces d’Art Contemporain, Caen 

À l’occasion de son exposition à l’Artothèque, pour sa conférence à l’Esam, l’artiste Thomas Hirschhorn explore le concept de « Présence et Production » dont il a fait l’expérience au cours de ses nombreuses sculptures et expérimentations dans et sur l’espace public. La présence de l’artiste sur les lieux de rencontre avec le public pendant des durées variables peut être moteur de dialogue et d’échanges ; elle déclenche une énergie mobilisatrice qui anime les propositions artistiques et devient, par son intensité, une proposition artistique en soi.

L’exposition le Laboratoire des Monuments tombés présente une série de maquettes de l’artiste :
« La problématique des monuments qui tombent n’est pas nouvelle en soi, mais ces derniers temps, cela s’est accéléré et durci. Que des monuments soient détruits, vandalisés, démontés, ou simplement transformés en ruines par l’usure du temps, existe – en effet – depuis que l’on construit des monuments.
Ma position sur ce sujet a toujours été définie selon l’affirmation que seul un monument érigé par amour peut durer. Mes travaux récents nommés Model for a Monument veulent insister sur la logique que tout monument porte en soi sa propre disparition quand il est basé sur le pouvoir, l’idéologie, la domination ou l’intimidation […] » – Thomas Hirschhorn
 
Né en 1957 à Berne, Thomas Hirschhorn fait ses études à Zurich et s’installe à Paris en 1983. Depuis le milieu des années quatre-vingt, l’artiste propose des sculptures précaires faites de matériaux comme le carton, le papier aluminium, l’adhésif, le plastique. Ajoutant des photocopies, des images découpées dans des journaux ou des magazines, des photographies, il y inscrit au marqueur ses commentaires ou interrogations sur des thèmes récurrents : l’art, l’économie, la politique, la philosophie. 

 

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Mardi 28 janvier 2025

 

Dans le cadre de sa carte blanche à la Médiathèque Henri Michaux Le bureau des heures invisibles (bhi) invite Jill Guillais à proposer un projet de création artistique autour du “faire commun” à Aubervilliers. SINGULIER PLURIEL s’amorce avec une exposition de gestes poétiques et visuels: des verbes non conjugués installés sur les vitres, des bouquets de fleurs et d’explosions collectées dans les livres, des canevas qui s’étirent, ou encore des hortensias rangés en pavés…

 

Au cours des mois et des saisons Jill Guillais proposera à Aubervilliers, ses habitants et ses invités, des temps collectifs de co-création pour nuancer, compléter et remplacer certains éléments de l’exposition initiale. L’artiste mènera ces ateliers en partenariat avec la Médiathèque Henri Michaux, l’atelier de couture La Débrouille et les ateliers socio-linguistiques du bhi.

 

Ateliers de co-création à la Médiathèque Henri Michaux : gratuits et ouverts à tous sur inscription au 01 71 86 34 41 ou sur bureaudesheuresinvisibles@gmail.com

Mercredi 19 février de 15h à 17h et Samedi 22 février de 15h à 17h
Cueillettes intangibles : cueillir des fleurs dans les livres, en faire des bouquets alignés intégrés à l’exposition.

 

Mercredi 16 avril de 15h à 17h et samedi 26 avril de 15h à 17h
À la folie CONFORME : explorer nos manières de représenter les fleurs, en faire un motif ajouté à l’exposition.

 

Jill Guillais est née dans le bocage normand. Elle a suivi ses premières années d’études à l’ESAM de Caen où elle questionne la notion de résilience par l’hybridation d’éléments naturels ou d’objets désuets ou incomplets. Elle rejoint en 2012 La Brighton Faculty of Arts (UK). Son final essay porte sur la notion d’échec et d’incomplétude et s’intitule “Failure anyway, how to avoid an end”. 

 

Aujourd’hui elle revient avec plus de précision sur ce qu’elle questionne depuis le début : le lien social et sensible qui amène les frontières entre le conceptuel et le tangible à se confondre. Elle développe Laboratoire itinérant d’interactions potentielles (Liip), qu’elle active avec les publics.  Elle se concentre sur le faire avec le vivant et ses représentations. Jill Guillais implique le hasard et l’altérité par le biais de collectes d’objets et l’activation de protocoles ou d’images par des gestes subjectifs de cueillette, de broderie, de coloriage, etc. Elle questionne ainsi les contours de ce qu’elle prend pour cible à manipuler jusqu’à ce qu’une certaine poésie du faire avec et du faire ensemble s’en dégage. L’artiste travaille en ce moment avec le collectif de recherche le bureau des heures invisibles à Aubervilliers, invitée par la commissaire d’exposition Sarina Basta, et l’artiste Amélie Mourgue d’Algue son projet SINGULIER PLURIEL s’attarde sur le motif floral en partenariat avec la Médiathèque Henri Michaux, l’atelier de couture la débrouille et l’atelier socio-linguistique du bhi. Pour son vernissage, le public activera des frottis des infinitifs co-signés comme editions d’artistes. 

Cette programmation est soutenue par la Ville d’Aubervilliers et la préfecture de Seine Saint Denis. 
Remerciements : L’équipe de la Médiathèque Henri Michaux, Lilit Letourneur, Atelier La Débrouille.

 

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